Gérez facilement l'emploi local : Arménie

Les congés payés s'élèvent à 20 jours pour les employés travaillant 5 jours par semaine, et à 24 jours pour les employés travaillant 6 jours par semaine. Un congé annuel prolongé pouvant aller jusqu'à 25 jours ouvrables est accordé à certaines catégories d'employés dont le travail implique une grande tension nerveuse, émotionnelle ou intellectuelle, ou un risque professionnel. Chaque employé a également droit à 12 jours fériés payés par an.

Dans la plupart des cas, les mères bénéficient d'un congé maternité d'une durée totale de 140 jours. L'employée peut commencer à prendre son congé maternité 70 jours avant la date prévue de l'accouchement, puis bénéficier de 70 autres jours après la naissance. En cas de complications à l'accouchement, le congé post-natal est porté à 85 jours, soit un total de 155 jours. En cas de naissance multiple, le congé maternité total s'élève à 180 jours. Les employées perçoivent 100 % de leur salaire moyen pendant le congé, dans la limite de cinq fois le salaire minimum.

En Arménie, les pères ont droit à cinq jours de congé rémunéré à 100 % du salaire moyen. Les cinq jours doivent être utilisés dans les 30 jours suivant la naissance. Actuellement, l'Arménie ne reconnait pas les couples de même sexe. Par conséquent, les parents de même sexe ne peuvent pas bénéficier de ce congé. Les entreprises peuvent choisir d'offrir leur propre congé parental rémunéré.

En Arménie, les nouveaux parents peuvent bénéficier d'un congé de garde d'enfant sans solde jusqu'à ce que l'enfant atteigne l'âge d'un an.

Les employeurs accordent des congés de maladie rémunérés du 2e au 5e jour de maladie. Après le 6e jour, ils peuvent bénéficier d'une prise en charge par l'assurance sociale.

En Arménie, les employés qui prennent un congé maladie en raison d'un accident ou d'une maladie liés à leur travail doivent continuer à recevoir leurs prestations habituelles jusqu'à ce qu'ils soient aptes à reprendre le travail. Pour les maladies non liées au travail, les employés malades pendant 120 jours consécutifs au maximum (ou 140 jours au cours des 12 derniers mois) ont le droit de reprendre le travail à leur poste et à leur salaire d'origine, à condition de ne pas dépasser ces limites.